Presse

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Décembre 2019
Critique de « Les mouvements de l’âme » par Canoline Canault, rédactrice en chef d’Espace Art’s Magazine.

“Elle capture une présence qu’elle transforme en évanescence, s’écartant de la convention tout en respectant les valeurs académiques. Carole se prête au jeu de la référence, sans la citer. Ses modèles proviennent de différentes sources d’inspirations. Celles du Quattrocento, des musées tels que Le Louvre, Orsay, le musée Rodin, Versailles mais aussi les églises ou les cimetières du Père Lachaise, de Nice, de Venise et Rome. Car c’est avant tout l’attitude qui retient son attention. La posture qui tend vers l’intimité, faisant du corps un espace de questionnement.”
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Septembre 2015
Critique de « Louis endiamanté au château »  par Caroline Canault, rédactrice en chef d’Espace Art’s Magazine.

A partir du samedi 5 septembre – Château de Maisons-Laffitte
La plasticienne Carole Fournet expose au Château une version contemporaine du Roi-Soleil.
Son portrait à taille humaine reconsidère l’original du peintre Hyacinthe Rigaud, exposé au Louvre et dont une copie est présente au château.
La technique mixte de l’artiste réunit le fusain, la peinture à l’huile, le plâtre, les cristaux et de la poudre de diamant provoquant cette hystérie douce de la surface. La noblesse du décor,la solennité et le raffinement du monarque en costume de sacre fleurdelisé se voient bousculés.
« Cette rébellion témoigne d’une peinture sensible, indéfectiblement joyeuse et intense qui brille de toute son impertinence.»

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Magazine Maisons-Laffite Septembre 2015 / page 9

 

Juin 2015
Critique de « Like a virgin » par Canoline Critiks

Carole Fournet revisite avec style un grand thème de l’art occidental chrétien ; la représentation de la Vierge à l’Enfant. Sa série « Like a Virgin » présente 50 vierges sous une vision bousculée qui souligne de subtiles références.

« Cette série est née de mon amour pour la période du Quattrocento italien, le rapport Mère et enfant est une symbolique très forte pour moi. Mais c’est aussi l’amour du dessin et le maniement de toutes les lumières. »
Paillettes, cristaux, feuilles d’or, poudre de diamants, mosaïques… Les ornements brillants se succèdent et s’ordonnent en cadence pour se mêler au fusain, au feutre noir, au pastel, à l’huile ou encore à la craie blanche sur papier Canson.
La technique mixte se juxtaposeauxprocédés de la peinture du XVe siècle italien ; chers à l’artiste. Toujours en filigrane dans l’œuvre de l’artiste, l’élément étincelant renvoie ici au symbole de la lumière divine. La direction du regard, souvent de biais des personnages, évoque une théologie de l’icône qui conduit le spectateur au-delà de l’image, vers l’invisible.
Derrière ces clins d’œil renaissants, les attitudes sont libres et variées ; la vierge est auréolée ou non, debout ou assise. A la fois divine et humaine, incarnée comme mère-déesse, elle caresse, protège ou allaite l’enfant Dieu, nu ou drapé, porté à bras, à genou ou sur ses hanches.
Le dogme de l’incarnation est ici affirmé sans soucis de naturalisme ou d’imitation. Les personnages sont représentés dans un cadrage serré, les corps « remanipulés » avec quelques désorientations des lignes dominantesguidantvers de subtiles asymétries. Le dessin est néanmoins préservéavec ses contours harmonieux pour la douceur des figures.
Par opposition à la matité des traits en noir et blanc, l’éclatdes aplats colorés et des ornements scintillants, créé une dualité esthétique très contemporaine. La vision chromatique oscille et surprend parfois car elle révèle une autre atmosphère que celle que nous avions cru percevoir. L’effet de contraste simultané se produit. La distinction entre le fond et la forme s’accentue. Autre divergence ; l’artiste laisse parfois le vide s’installer ou remplit tous les espaces, proposant ainsi une certaine déconstruction de l’acte de voir. Mise à distance oua contrario, intime proximité, l’artiste interroge, entre le lisible et l’illisible.
Pour un œil attentif, il y a toujours dans l’œuvre de Carole Fournet des subtilités à découvrir, à condition de prendre le temps et la hauteur, celle qui libère des certitudes et du carcan de la représentation de la croyance.

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Mai 2015
Critique de “Louis” par Caroline Canault

Carole et Louis
Le tricentenaire de la mort de Louis XIV est l’occasion pour Carole Fournet de témoigner de sa passion pour la lumière d’une époque ;celle des grands qui ont fait l’Histoire de France. Le château de Maisons-Laffitte est son terrain de prédilection pour croquer, peindre et reproduire avec une extravagance qui lui est propre les scènes mythiques du château. Peintures, sculptures, moulures… Des œuvres les plus monumentales aux détails les plus imperceptibles, son ouvrageHistoires revisitéesconstitue un glossaire d’une remarquable singularité.
Louis XIV est pour l’artiste, une idoletransportée dans le temps présent.
Son portrait à taille humainereconsidère celui du peintre Hyacinthe Rigaud dont l’original se trouve au Louvre et une copie au château de Maisons-Laffitte.
Carole Fournet se met à la recherche des forces qui renouvèlent le passé. Elle réinvente le sublime en venant alternativement découvrir et recouvrir les profondeurs du mythe du plus étincelant Roi de France.
Sa technique mixte réunit le dessin au fusain, la peinture à l’huile, le plâtre, les paillettes Swarovski et dela poudre de diamant provoquant cette hystérie douce de la surface. Un relief qu’elle travaille pour le toucher, en particulier celui des non-voyants à qui elle propose une lecture directe, intuitive et palpable de l’œuvre.
Du trait au relief, l’œuvre se révèle au dernier passage du fusain pour souligner les contours visibles, un moyen de reconnaître le désir qui a motivé sa patiente composition.
Chaque étape du parcours est ressentie comme un questionnement, une remise en cause de l’équilibre. Cet aller-retour perpétuel entre l’archive et le présent dévoilent des effets d’absence et de présence, d’apparition et de dissolution.Un véritable jeu de couches qui jette un trouble dans un mouvement constant entre miroir et transformation du réel. Entre le corps et la lumière, entre le statisme du trait et le mouvement du reflet, le portrait du Roi-Soleil se façonne.
Ce savant procédé de superpositions de surfacesinhibe l’éclat des couleurs quise substitue au voile poudré, doré. L’usage de ce précieux artifice prend une valeur libertaire. Sous Louis XIV, le fard est le symbole de l’amour, de l’émancipation, mais aussi de l’adultère et de l’impudeur. Ici, il travesti en exaltant le trait libre et transformé. La noblesse du décor, la quintessence du pouvoir absolu mais aussi la solennité et le raffinement du monarque en costume de sacre fleurdelisé se voient bousculés.La perspective est abolie.
Cette dimension esthétique qui exagère, sectionne, fractionne et morcelle est une pratique continue chez l’artiste. C’est une proposition ouverte de lecture qui étouffe les frontières d’une œuvre finie. Cette rébelliontémoigne d’une peinture sensible, indéfectiblement joyeuse et intense qui brille de toute son impertinence.

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Octobre 2012
Carole Fournet ajoute de l’éclat à ART CANTON 2012 !
Carole Fournet, artiste peintre parisienne, expose sa nouvelle série de toiles réalisée avec le soutien de Swarovski ®.
Pour ART CANTON 2012 , Carole Fournet expose une frise continuelle de ses oiseaux rares, inspirés par les immenses sculptures érigées sur la plage de Shenzhen.

Chaque peinture raconte une histoire qui a commencé en 2011 avec des grands formats illuminés par des paillettes. L’intégration des cristaux Swarovski ® cette année est une suite logique de son travail, ils illuminent par leur transparence, leur pureté et leur brillance. La richesse de la palette, l’esprit innovant et poétique de Swarovski ® subliment la créativité de l’artiste.

Des  ovipares ailés aux becs ornés dansent sous une constellation de pierres précieuses. Un carnaval de forme inconsciente,  théâtre de marionnettes bestiaires d’une grâce innocente où les anges-oiseaux sont les gardiens d’un paradis perdu.

Carole Fournet procède par touches successives : du fusain, du pastel, du cirage, des dorures et des cristaux. Un travail soutenu où le détail a son importance. La planéité de la toile est chahutée par l’ornement étincelant : le cristal enchâsse l’iris pour recevoir la lumière. « C’est un don direct et pétillant que j’avais envie de donner au spectateur, à l’image d’une vie légère et gaie, loin du monde actuel et de ses atrocités. Je prends le contre-pied avec cette envie de lumière que je distribue partout sur mes toiles » souligne l’artiste.

La peinture de Carole Fournet est joyeuse et énigmatique. Ses oiseaux de paradis jouent la naïveté pour susciter l’étrangeté. Figures spectrales, créatures majestueuses aux variations colorées, rouges, vertes, bleues, elles insufflent une aura mystérieuse et mythologique sous une identité féminine. Oiseaux de feu,  phoenix revisités battant de l’aile pour attiser la flamme. Leur fusion idyllique les conduira aux pays des immortels. Genèse et renaissance de l’évolution d’un cosmos où les anges sont aussi planètes. Les astres brillants, divinités supranaturelles de l’infiniment grand.

L’artiste signe ses œuvres avec son nom chinois,  enchâssé d’une pierre précieuse cristal Swarovski ®, reflet de la créativité de cette union.

 

Juillet 2012
Nouveau numéro Espace Art’s Magazine !
http://espace-arts-magazine.com/webzine3/index.html
Facebook :
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Mars 2012
http://espace-arts-magazine.com/webzine2/index.html

 

Décembre 2011
Carole Fournet, Cadavres Exquis
Abandonner l’armure charnelle de ses corps dorés était comme une évidence. Avec cette nouvelle série, l’artiste poursuit son exploration du corps vers une sublime économie de l’essentiel.

Carole Fournet choisit de dépouiller ses îcones convulsives jusqu’à l’os. Les corps se fragmentent cette fois sur papiers cartonnés assemblés au format raisin et double raisin. Clins d’œil au jeu collectif poétique des surréalistes, ses cadavres exquis ne se construisent pourtant pas par hasard. Ils sont savamment étudiés auprès de modèles réels ; des ossements chinois. « La Chine est une ouverture humaine exceptionnelle, j’ai utilisé l’inspiration de mon voyage à Shenzhen pour enrichir mon travail sur le corps » nous confie l’artiste qui signe sa série au tampon calligraphié de son nom en mandarin.

Contrastes à double tranchant

Carole Fournet manipule les os jusqu’à se les réapproprier pour vriller vers une perspective déconstruite et imprévisible du squelette. Les Lignes heurtées et hachées s’affirment à l’encre et au feutre noir puis l’eau, la colle et le scotch viennent suturer certaines articulations apportant une surface lisse, un reflet. Ces pansements transparents chahutent la planéité et procurent un relief écrasé. L’usage majoritaire du noir et du blanc contraste parfois avec la couleur franche et tranchée d’un papier sur lequel le squelette est apposé. Une apparente frontalité d’un assemblage parfaitement maîtrisé.

Les joyeux travestis du réel

Ces variations reconstituées ne manquent pas d’humour noir. Elles évoquent même le romantisme osseux et amusé de Tim Burton. Souriants et dentelés, les squelettes affichent leur cynisme. Parfois une joyeuse civilité sous les traits d’une coquetterie décomplexée. Boucles d’oreilles et sacs à main en guise d’accessoires singent l’inexorable préciosité humaine. D’autres farceurs dansent sous des envols de papillons. Cette burlesque imitation de la vie réenchante la représentation de la mort. Une allégorie délicieusement macabre qui redéfinit, avec ses nouveaux objets symboliques, la vanité. « Memento Mori » (Souviens-toi que tu mourras), comment ne pas considérer l’inutilité de s’attacher aux plaisirs de son temps ? « Mes cadavres sont vivants, je suis dans la vie ! » conclue l’artiste.

Caroline Canault.

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Octobre 2011

Les corps disloqués de Carole Fournet s’expriment sous une palette restreinte mais éclatante, aux tons jaunes, ocres, dorés. L’artiste qui porte elle-même les boucles d’or, aime la primaire de la lumière. Après dix années passées auprès du peintre florentin Salvatore Gurrieri, elle acquiert la méthode du Quattrocento italien.

La manipulation des pigments comme la maîtrise du dessin la propulse aujourd’hui loin des canons esthétiques de la renaissance italienne aux tons cassés et subtiles liant beauté, harmonie et idéal. Telles des icônes rayonnantes d’un autre temps, les corps de Carole Fournet sont des corps-icônes contemporaines enveloppées d’une dorure ornée.

Sans nier le procédé décoratif, l’artiste attribue autour de ses corps désarticulés, des formes douces ; éléments formels, floraux, sinueux, en spirale. Comme ces volutes omniprésentes chez Klimt, les ornements dorés de Carole Fournet relèvent d’une vision cosmique où le mouvement ondulatoire créé la forme.

Sur les traces de la révolution cubiste et de l’art brut, l’artiste propose une véritable remise en cause de toute idée de beauté, de vraisemblance et de proportion. « Je suis obsédée par le corps libre en mouvement » avoue-t-elle. Ces corps qu’elle soumet à des épreuves sensibles ; disloqués, géométrisés, déformés, défigurés, demeurent figuratifs et essentiellement féminins. Libérés, ils se fragmentent dans leurs contorsions.

Les lignes dures et anguleuses de ces beautés convulsives sont traitées en grand format sur papier cartonné. La technique est mixte ; cirages, gouaches, huiles pastels et le plâtre qui renforce la signification et la surface. La peinture de Carole Fournet est une surface de projection à l’épaisseur maîtrisée où les aspects affectifs de l’expression des corps manipulés s’allient à la fascination du précieux, à l’aura de l’or.

Un style pulsionnel enrobé dans un espace sensuel symbolique qui naît de son propre corps. Car le trait et la pulsion sont dirigés par ses mains, l’artiste n’utilise pas d’outil pour peindre. Ce rapport direct et tactile avec la toile s’inscrit dans un espace du toucher qui lui est propre.

L’émotivité du tracé affiche un expressionisme ethnique certain. Une ronde tribale met en scène trois grâces. Une douceur joviale équivoque émane de cette danse flamboyante qui semble jaillir des flammes. Une autre scène annonce la chute d’un corps d’une échelle, visiblement provoquée par deux censeurs aux yeux écarquillés d’un bleu ciel si serein. Sous ces regards d’une exclamation céleste, sommeille la férocité des corps caractériels. Expression divine d’une dualité primitive. Le divin et l’enfer réunis.

Caroline Canault.

 

October 2012
Carole Fournet adds sparkle to ART CANTON 2012!
Carole Fournet, Parisian painter, exhibits her new series of paintings produced with the support of Swarovski ®.

For ART CANTON 2012, Carole Fournet exposes 8 paintings in a continuous frieze of rare birds, inspired by the huge sculptures erected on the beach of Shenzhen.

Each painting tells a story that began in 2011 with large formats illuminated with glitter. The integration of Swarovski ® crystals this year is a logical continuation of her work, they illuminate by their transparency, their purity and brilliance. The richness of the palette added to the innovative and poetic spirit of Swarovski ® sublime the creativity of the artist.

Winged oviparous with horny beaks dance under a constellation of sequins.
Unconscious form of a carnival, theater of bestiary puppets with an innocent grace, where angels-birds are the guardians of a lost paradise.

Carole Fournet proceeds by successive strokes. Ink, oil, shoe polish, crayons, gilding, glitter. The flatness of the canvas is heckled by the ornament glitter and sequins enshrines the iris to receive light. “This is a direct donation and sparkling that I wanted to offer to the viewer, like a light and cheerful life, far from the modern world and its atrocities. I take the obverse with this envy of light that I distribute all over my canvas, “said the artist.

Carole Fournet painting is joyful but enigmatic. His birds of paradise appear so naive that they arouse strangeness. Spectral figures, majestic creatures with variations of color, red, green, blue, they inspire an aura of mystery and mythology under a female identity. Firebirds, revisited phoenix flapping their wings to kindle the flame. Their idyllic merger will lead them to the land of the immortals. Genesis and rebirth of the evolution of a universe where the angels are also planets. The shining stars, supernatural deities of the infinite.

The artist signed his works with his Chinese name embedded in a Swarovski ® crystal, reflecting the creativity of this union.

 
March 2012
http://espace-arts-magazine.com/webzine2/index.html

 

October 2011
The dismembered bodies of Carole Fournet are expressed in a small but brilliant palette, in shades of yellow, ochre, golden. The artist who wears golden curls, likes the primary status of light. After ten years spent with the Florentine painter Salvatore Gurrieri, she acquired the Italian Quattrocento method.

At present, the manipulation of pigments and the mastery of drawing pushes her far from the aesthetic canons of Italian Renaissance with shades that are both subtle and broken, binding beauty, harmony and perfection. Like icons radiating from another time, the bodies of Carole Fournet are contemporary body-icons wrapped in a decorated gilding.

Without denying the decorative process, the artist gives soft forms to her disarticulated bodies, including formal floral, sinuous and spiral elements. As these scrolls are also present everywhere in Klimt, the golden ornaments of Carole Fournet add a cosmic vision, in which the wave motion creates the form.

In the footsteps of both the cubist revolution and art brut, the artist offers a real challenge to any notion of beauty, likelihood and proportion. “I am obsessed by   the body in motion” she admits. These bodies which she submits to sensitive tests, even dislocated, geometric, deformed, disfigured, remained figurative and essentially female. Liberated, they break up into their contortions.

The hard, angular lines of these convulsive beauties are treated in large format on cardboard. The technique is a mix of polishes, gouache, oil pastels and plaster, reinforcing both the meaning and the material. Carole Fournet’s painting is a projection surface in which thickness is controlled, and where the emotional aspects of the expression of handled bodies combine with the fascination of what is precious and to the aura of gold.

An impulsive style wrapped in a sensuous symbolic space that comes from her own body. Because the line and the impulse are directed by her hands, the artist does not use a tool to paint. This direct and tactile relationship with the canvas lies within a space of touch which is particular to the artist.

The emotion of the line displays a certain ethnic expressionism. A tribal round features three graces. A joyful but ambiguous sweetness emanates from this flamboyant dance that seems to spring from the blazing flames.
Another scene foreshadows a body falling from a ladder, apparently caused by two critics whose wide-eyes are of a serene sky blue. Under these exclamatory and celestial gazes sleeps the ferocity of disturbed bodies. Divine expression of a primitive duality. Heaven and hell united.

Caroline Canault.
 

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